Sicile 2017 : Jour 5 & jour 6
Cefalu
Aujourd’hui nous traversons toute l’île pour aller du côté de Palerme. Après deux heures de route, à traverser des paysages très ruraux, (qui m’ont fait penser à l’image qu’on donne du Mexique à la télé d’ailleurs, ndlr) nous arrivons dans une petite ville du nom de Cefalu, village touristique classique, avec ses petites rues pleines de marchands de brôlles, sa jetée, et surtout sa plage! 5 jours qu’on est là et Maxine ne s’est toujours pas baigné, il fallait faire quelque chose…
Finalement, nous avons fini par entrer dans l’échoppe d’un marchand de souvenirs, qui nous a fait tout un laïus sur nous les Français, qu’il nous aimait bien car à mi chemin entre la bienséance froide des anglais et la chaleur bordélique des latins. Vous comprenez, les siciliens, les Italiens, les Espagnols, ils viennent dans la boutique, il foutent le bordel, et au final ils négocient tout, par principe, car c’est dans leur culture ! Vous les Français, si le prix est affiché et que c’est trop cher, vous partez, mais au moins on ne perds pas son temps.
Merci vieux, on se souviendra de toi! 🙂

Et la bonne surprise en arrivant, Giovanni qui nous a offert une bouteille de son vin, fait maison ^^
Cavagrande del cassibile!
Dernier jour entier sur place, on avait pas vraiment prévu de destination alors hier soir, ça s’est joué entre Google, TripAdvisor, le guide futé de la Sicile, le vin de Giovanni et une bière. Et il en est ressorti qu’on se ferait bien une journée tranquille autour d’une rivière, dans une gorge. Bienvenue à cavagrande del cassibile!
C’est au sud de Cyracuse, qu’on avaient visité auparavant. Le lieu n’est accessible qu’aux prix d’une montée en voiture, puis la descente à pieds, jusqu’à la rivière. Un peu plus d’une heure quand même de descente, c’est pas pour rigoler! Une fois arrivés en bas, ça en valait la peine, une rivière fraîche, translucide, sauvage, et sans trop de monde.

Nous avons déjeuné là, lezardé un peu, Maxine est allé travailler son plongeon dans l’eau avec papy, bref un bon moment.
Jusqu’à la remontée…
Vous voulez savoir qui a gagné la course? Maxine, évidemment, qui a pratiquement tout remonté seule, peut être 100 ou 200 mètres sur mes épaules, et le reste à pieds, et au pas de charge! Suivi de près par papa, puis papy et enfin mamie et maman, qu’il a fallu ranimer à l’arrivée. Heureusement que les siciliens savent recevoir, il y avait un bar prêt à nous désoiffer juste en haut!
Allez, demain on fait les valises et on rentre à la maison.

















